LES INDUSTRIES CULTURELLES ET CRÉATIVES FRANCO-ALLEMANDES, mars 2019
« Actualités livre : coup de cœur »
« Actualités livre : coup de cœur »
« […] Regarder n’est pas une biographie romanesque, mais le portrait de cette femme exceptionnelle, libre et déterminée, engagée et luttant contre le fascisme jusqu’à y laisser sa vie. […] »
« […] Indépendante et intrépide, notre héroïne voyage, choisit son nom, son métier, ses amants. Trop libre pour être inféodée à un parti, elle revendique toutefois son adhésion à la république contre le fascisme. […] »
« […] C’est aussi ce qui émane du récit de Léonor de Récondo : malgré la mort imminente du père, il règne un climat de douceur, d’amour, de beauté. Dans cette famille, la création est importante. […] »
« Une pépite littéraire en cette rentrée de janvier. Léonor de Récondo revient avec un livre plus personnel. Il raconte la nuit ou son père, Félix, est mort. […] »
« […] Dans un style différent, plus personnel, Léonor de Récondo nous offre un roman triste et beau comme des notes de violon qui s’échapperaient d’une chambre où l’on veille celui qui bientôt ne sera plus… Manifesto est indiscutablement un superbe roman de cette rentrée de janvier. »
« […] La vie, la mort se donnent mutuellement la main dans ce roman (et récit à la fois) écrit avec infiniment de délicatesse. La création artistique réunit les deux récits, lesquels finiront par se confondre. […] »
« Léonor de Récondo nous invite avec beaucoup de pudeur à s’asseoir avec elle dans une chambre d’hôpital, où son père vit ses dernières heures. J’y suis entrée, et respectueusement, j’ai écouté les histoires. […] »
« […] Dans ce court livre émouvant et personnel, la romancière dévoile le parcours et la fin de vie de son père, peintre et sculpteur. Et pourtant ce livre n’a rien de triste : il évoque un parcours artistique passionnant et le pouvoir de la création. »
« Une longue nuit d’attente, une main tenue, encore, une attention portée tout entière à une respiration : la mort d’un père est proche. Les souvenirs, ceux de l’enfance, des vacances, de la famille, reviennent. […] »