WWW.ADDICT-CULTURE.COM, David Goulois
« Après le très réussi Le Tabac Tresniek, Robert Seethaler nous est revenu lors de la dernière rentrée littéraire d’automne avec Une vie entière, un petit bijou littéraire étonnant de simplicité. […] »
« Après le très réussi Le Tabac Tresniek, Robert Seethaler nous est revenu lors de la dernière rentrée littéraire d’automne avec Une vie entière, un petit bijou littéraire étonnant de simplicité. […] »
« Quand, à la fin du premier chapitre de ce roman impeccablement construit, les autorités demandent à Margio, de toute évidence coupable du meurtre d’Anwar Sadat, pourquoi il a sauvagement assassiné ce notable, il répond : « Ce n’est pas moi, il y a un tigre dans mon corps. […] »
« Diane Meur, qui nous avait enchantée avec Les Vivants et les Ombres, entreprend ici de dessiner La Carte des Mendelssohn. Que sont devenus les descendants du philosophe Moses Mendelssohn (1729-1786) et de son petit-fils, le musicien Felix (1809-1847) ? […] »
« À chaque livre, Diane Meur surprend. C’est assurément le cas avec ce cinquième roman, dans lequel elle renouvelle profondément sa manière de faire. Comme pour les autres, il s’agit d’une histoire de filiation, de destins qui s’étendent par-delà les générations. […] »
Durant tout l’été, onlalu vous présentera chaque jour un roman, et vous donnera à lire son début.
« Cartographie familiale : La Carte des Mendelssohn, de Diane Meur. Dans la famille Mendelssohn, on connaît Moses, le philosophe, et Felix, le compositeur. Mais quid de l’homme né entre eux, fils du premier et père du second, que l’Histoire a laissé dans l’ombre ? […] »
« Macadam Buzz »
« Dans la famille Mendelssohn, Diane Meur avait Moses, le grand-père juif philosophe allemand des Lumières, elle avait Felix, le petit-fils compositeur romantique, elle souhaitait donc écrire sur le chaînon manquant, fils du premier et père du second, Abraham Mendelssohn, banquier de son état. […] »
Une illustation de Soledad Bravi sur son blog : www.blogdesoledadbravi.com.
« Les deux mots Quatre murs font penser à une maison, et il en est bien sûr question dans le superbe roman de Kéthévane Davrichewy qui porte ce titre (Sabine Wespieser, 2014, 192 pages ; 10/18, 2015, 142 pages). […] »