BLOG À PART, Vincent Engel, mercredi 10 avril 2013
« Toujours, avec Michèle Lesbre, la poésie tissée sur une sensibilité à fleur de peau, dans un texte dense, serré comme les jambes qu’une femme tient entre ses bras, blottie dans un fauteuil qui accueille ses nuits blanches depuis que, sous ses yeux, un vieil homme s’est jeté sous le métro après lui avoir souri. […] »