REVUE DE PRESSE
Misogynie


Presse écrite


VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 10 juillet 2022

« Avec son style épuré, Claire Keegan brosse le portrait d'un homme méprisant par habitude le sexe dit faible sans jamais se remettre en question. »

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PAGE DES LIBRAIRES, Marianne Kmiecik, librairie Les Lisières (Croix), été 2022

« Une écriture vive, un style tout en subtilité, des histoires courtes et marquantes : voilà comment qualifier les textes de Claire Keegan ! »

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LA LIBRE BELGIQUE, Geneviève Simon, mercredi 6 juillet 2022

« Une nouvelle aussi cruelle qu'habilement menée par la talentueuse Claire Keegan »

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LE MONDE DES LIVRES, Camille Laurens, vendredi 3 juin 2022

« Avec un art consommé de la chute, Claire Keegan torpille "ce qui semblait être de l'amour", démonte la mécanique inexorable de l'échec et fait entendre la discordance fondamentale entre les sexes. »

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ELLE, Virginie Bloch-Lainé, vendredi 6 mai 2022

« Avec une économie de pages et d'effets, sa marque de fabrique, l'Irlandaise Claire Keegan dresse le portrait d'un être habitué à mépriser le sexe dit faible sans rencontrer de résistance jusqu'à ce qu'il se heurte à un obstacle : une femme lucide. »

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Madame Figaro, Colombe Schneck, vendredi 6 mai 2022

« Un homme et une femme s'aiment. Pourquoi l'un quitte l'autre ? Lui laissant un trou dans le corps que rien ne comblera. »

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LIVRES HEBDO, Kerenn Elkaïm, mai 2022

« Claire Keegan savoure les formats courts. Dans cette nouvelle, l'Irlandaise fait l'autopsie d'un couple qui se voyait uni pour la vie. »

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Coup de cœur des libraires




Presse Web


MEDIAPART, Frédéric L'Helgoualch, mardi 28 juin 2022

« Introduire doute et réflexion en moins de cinquante pages, parvenir à souligner la tristesse, le pitoyable, du petit garçon trop sûr de ses schémas et qui ne parvient plus à briser sa logique défensive, quitte à saborder son bonheur : encore un exercice de haute volée de la dame Keegan. »

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DIACRITIK, Kathleen Evin, mardi 10 mai 2022

« En lectrice qui n’aime pas que l’auteur donne son avis, Claire Keegan nous offre des histoires limpides, agencées comme de petites scènes, jetées sur les pages comme autant de pièces d’un puzzle qui ne révélera son image finale qu’à la dernière ligne. »

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LILIAUFILDESPAGES, jeudi 5 mai 2022

« Un comportement de misogyne, passé au scalpel avec un réel talent, par petites touches puisées dans les gestes du quotidien et qui ont leur importance, car ils révèlent les êtres. »

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