LIBRAIRIE TOTEM, Schiltigheim
« Superbe déambulation dans la neige ! »
« Superbe déambulation dans la neige ! »
« Une nuit dans la montagne au-dessus de Sisteron. Une nuit dans laquelle marche David à la rencontre de naufragés de la neige, du froid et de la mémoire. […] »
Lu et conseillé par : Sarah Gastel, librairie Terre des livres (Lyon VIIe), Christophe Aimé, librairie M’Lire Anjou (Château-Gontier), …
Lu et conseillé par :
Margaux Hénin, librairie Passion Culture (Orléans)
Aurélie Janssens, librairie Page et Plume (Limoges)
Véronique Marchand, librairie Le Failler (Rennes)
Laurence Quenard, librairie Garin (Chambéry)
Marie Godel, librairie Hartmann (Colmar)
Sandrine Maliver-Perrin, librairie Sauramps (Montpellier)
Marie-Aube Nimsgern, librairie La Carline (Forcalquier)
Michel Edo, librairie Lucioles (Vienne)
Chloé Dolain, Librairie Nouvelle (Orléans)
« L’Homme-Tigre nous est offert sur un plateau étincelant : un travail de traduction splendide et généreux, qui hurle son amour pour l’Indonésie, ses croyances, son histoire culturelle.
Chacune des pages de cette tragédie familiale fascine, essouffle, transport ! […] »
« Le roman s’ouvre sur le meurtre sauvage d’un homme âgé par un jeune homme, qui dit l’avoir attaqué car un tigre habite en lui. De fil en aiguille, l’auteur nous fait remonter le temps afin de nous permettre d’entrevoir les événements précurseurs qui ont menés au drame. […] »
« L’Homme-Tigre, une plongée au cœur de la société indonésienne, provinciale, avec la dureté des relations humaines et la situation des femmes, les difficultés de vivre et de s’épanouir, cette misère qui ne fait que rendre plus difficiles les relations entre les êtres […] »
« Quelle merveille ! Eka Kurniawan, en maître conteur, nous emmène avec lui dans ces intrigues patiemment façonnées et nous laisse glisser dans cette admirable spirale dont on sort avec nostalgie, étonné, émerveillé. C’est un coup de cœur ! […] »
« Andreas Egger a 79 ans quand ses propres paroles planent devant lui avant d’éclater à la lueur de la lune et que la mort l’emporte. Ce boiteux qui s’est souvent considéré comme un épineux rabougri n’a pourtant pas à rougir de la vie qu’il a menée, tentant toujours de se redresser vers le soleil. […] »
« Cette histoire courte, mais qui résume la vie d’Andreas Egger avec une grande simplicité d’écriture, est une pépite d’une grande force. L’histoire m’a touché. Les épreuves de la vie qu’il faut affronter, les blessures, le courage de dépasser les difficultés ou la mort de l’être aimé… […] »