LE FIGARO MAGAZINE, Jean-Marc Parisis, vendredi 8 mars 2013
« Sur un quai de métro, une femme, et un vieux monsieur inconnu, qui lui sourit avant de se jeter sous la rame. Elle devait rejoindre un homme dans un hôtel sur une côte sauvage. […] »
« Sur un quai de métro, une femme, et un vieux monsieur inconnu, qui lui sourit avant de se jeter sous la rame. Elle devait rejoindre un homme dans un hôtel sur une côte sauvage. […] »
« Il y a des rencontres, des événements qui ébranlent pour le restant de la vie. La narratrice d’Écoute la pluie part rejoindre l’homme qu’elle aime, dans un hôtel en bord de mer. Sur le quai du métro, un vieil homme lui sourit, avant de se jeter sous les roues de la rame. […] »
« Aux différentes façons d’écouter la pluie, s’ajoute, celle de Michèle Lesbre. À la violence du déclencheur de cette histoire, se pose une douceur incommensurable sur le récit. […] »
« Travail de mémoire à la Patrick Modiano, d’un côté. Roman impressionniste façon Marguerite Duras, de l’autre. Michèle Lesbre s’affirme comme un écrivain d’envergure. »
« Travail de mémoire à la Patrick Modiano, d’un côté. Roman impressionniste façon Marguerite Duras, de l’autre. Michèle Lesbre s’affirme comme un écrivain d’envergure. »
« La jeune fille élevée dans la grande maison de Drewsboro, dans le comté de Clare, entre une mère adorée et un père trop souvent ivre, est devenue le grand écrivain irlandais de sa génération, mondialement célèbre, […] »
« La langue brillante de Vincent Borel, avec mots rares et expressions chantournées, sied à merveille à l’époque et au monde intérieur de ce Richard W. nourri de doutes, d’amertume et de passions vénéneuses. »
« On croyait tout connaître de Wagner. Vincent Borel nous livre le roman-portrait de ce génie torturé, qui est passé à la postérité parce que le jeune roi Louis II de Bavière a su lui accorder confiance et financement pour mener à bien ses projets. […] »
« Edna O’Brien révèle dans ces mémoires à quel point rien d’autre dans sa vie n’importe vraiment sinon l’urgence d’écrire. »
« Infiniment mélancolique, ce beau texte de Michèle Lesbre parvient, dans une langue élégante et classique, à évoquer des vies minuscules. »