LE MATRICULE DES ANGES, Julie Coutu, novembre 2012
« Avec son troisième recueil de nouvelles, l’Irlandaise Claire Keegan explore l’intimité de personnages rongés par leurs envies, leurs rancoeurs, leurs ratés. Toujours en sourdine. […] »
« Avec son troisième recueil de nouvelles, l’Irlandaise Claire Keegan explore l’intimité de personnages rongés par leurs envies, leurs rancoeurs, leurs ratés. Toujours en sourdine. […] »
« [Claire Keegan] nous fait voir la beauté des choses dans une prose claire, exigeante, captivante, qui a l’éclat de la pierre polie. En observant de très près le monde qui l’entoure et en puisant dans ses souvenirs, elle suit, […] »
« Dans la nouvelle, cette forme ramassée, elle a trouvé la bonne distance pour raconter des tranches de vie au moment où tout bascule. Où les êtres choisissent leur destin, sans savoir s’ils prendront ou non la bonne décision. […] »
« Instinctif, nostalgique, ironique et poétique, ce premier roman est aussi réussi qu’attachant. »
« Raconter l’Irlande incestueuse, les mariages sans amour sans faire de victime : À travers les champs bleus de Claire Keegan. »
« La terre, la famille et le prêtre. La terre que l’homme préfère à sa famille, la famille qui n’aime pas à sa faim, le prêtre dont la soutane n’est pas sans tache : sainte trinité des histoires irlandaises de Claire Keegan. […] »
« La discrète écriture de Jean Mattern pointe avec délicatesse la fragilité et l’espoir des hommes blessés. Il fallait qu’une trace persiste de mon désir, conclut-il. Que rien ne s’arrête. »
« Comment réagissent des Américains de religions, de couleurs, de milieux différents, lorsqu’ils sont personnellement confrontés à l’exécution d’un condamné à la peine capitale ? […] »
« Si Catherine Mavrikakis est franco-grecque par ses parents, sa plume a tout de celle d’une Américaine. On croit sentir, dans ce roman, la patte des meilleurs traducteurs de la littérature d’outre-Atlantique et pourtant, non. […] »
« Au pénitencier de Charlestown, aux États-Unis, Smokey Nelson va être exécuté. Trois personnes, dont on suit le récit séparément, se souviennent que ce criminel a, au moment de son quadruple meurtre, croisé leur chemin et bouleversé définitivement leur vie. […] »