LE JOURNAL DU DIMANCHE, Laëtitia Favro, dimanche 4 septembre 2016
« La romancière irlandaise dresse le portrait d’une femme hantée par la honte pour avoir aimé un criminel de guerre. […] »
« La romancière irlandaise dresse le portrait d’une femme hantée par la honte pour avoir aimé un criminel de guerre. […] »
« Une Irlandaise se révèle après avoir été séduite et trompée par un criminel de guerre serbe en fuite. Les Petites Chaises rouges est un splendide roman sur le mensonge et l’innocence. […] »
« D’emblée, le ton est donné. Les petites chaises rouges du titre sont celles des centaines d’enfants morts durant le siège de Sarajevo et alignées en commémoration du vingtième anniversaire du drame. […] »
« Dans ce roman-monde, l’auteur, refusant de se résigner aux inégalités et aux désastres qu’il décrit, fait basculer ses personnages dans une jouissive utopie. » […]
« À la circonstance pandémique, Vincent Borel préfère une combinaison de sinistres climatique, électrique, sanitaire et technologique. Ouvert sur l’esplanade de la Défense […], le livre se poursuit à Cuzco, soudain transfiguré par une rafale de neige, d’accordéons et de chants quechuas » […]
« […] Quant au « mal noir » imaginé par Catherine Mavrikakis, son premier effet est d’accuser le gouffre entre deux mondes antagonistes : d’un côté, la misérable « gueusaille », organisée en grappes rivales et première cible de l’épidémie […] »
« Edna O’Brien. On adore l’écrivaine irlandaise de Fille de la campagne et l’on savoure déjà la découverte des Petites Chaises rouges. Ce roman évoque le destin d’une femme qui croise l’un des monstres de l’Histoire du XXe siècle. Impressionnant. »
« Portrait de femme autant que libre variation autour de la figure de Radovan Karadzic, Les Petites Chaises rouges permet de retrouver une Edna O’Brien au mieux de sa forme romanesque. […] »
« Avec Fraternels, Vincent Borel imagine le futur et parle de technologie, d’islam et d’écologie. Iconoclaste, ce livre pourrait faire beaucoup de bruit. » […]