FINALISTE DU GRAND PRIX RTL-LIRE, lundi 11 janvier 2016
« Cinq romans de la rentrée de janvier fevrier 2016 sont finalistes pour le Grand prix RTL Lire qui sera proclamé à Livre Paris. […] »
« Cinq romans de la rentrée de janvier fevrier 2016 sont finalistes pour le Grand prix RTL Lire qui sera proclamé à Livre Paris. […] »
« La romancière retrace le parcours de son arrière-grand-père, Joseph Davrichachvili, aviateur et agent secret, dont la destinée fut intimement liée à celle de Staline. […] S’ils sont animés d’un même élan patriotique, […]»
« Tous les tyrans ont une enfance en héritage, certains l’assassinent comme le reste, d’autres pas. Années 50 : affaibli par l’hypertension qui l’emportera, Joseph Djougachvili, dit Staline, aime qu’on lui joue l’air populaire géorgien qu’il entendait dans sa Gori natale […]»
« Même prénom, presque frères, les destins de deux Géorgiens. Des Joseph, on en trouve deux dans le nouveau roman de Kéthévane Davrichewy. Le premier, personne ne l’a jamais oublié. Joseph Djougachvili, dit Staline, était appelé « Sosso » quand il était gamin. Le second, un certain Joseph Davrichachvili […]»
SÉLECTION JDD / FRANCE INTER
« Entre passé obsédant et réalité du présent, un premier roman prenant. Une femme enceinte tétanisée au-dessus d’un grand requin blanc qui nage sous elle : arrêt sur image saisissant de ce début de roman. […]»
« Andreas Egger, le héros d’Une vie entière, n’a vraiment pas de bol : il est mal né. Dans son enfance orpheline, il en a reçu, des torgnoles. Cela ne va pas mieux à l’âge adulte : il faut s’engager dans la Wehrmacht, survivre au pain sec et aux prisons soviétiques. […] »
« Il y a le chat de Sôseki, témoin malicieux de la société japonaise à l’ère Meiji (1868-1912), Zorbas, le matou noir de Luis Sepúlveda, qui apprend à voler à une mouette, et les chats détectives de Lilian Jackson Braun. […] »
« Vingt-six hivers à déneiger les routes de sa commune… mais, pour la première fois, ce 23 décembre 2004, David passe la main. […] »
« Année 1933. Andreas Egger, suite à une intuition, se rend chez Jean des Cornes et le trouve agonisant sur sa paillasse. Sur le chemin, en descendant le mourant au village, les deux hommes ont une discussion sur la mort, la disparition totale de toute vie, l’inexistence d’une autre vie au paradis. […] »