BLOG LES LISEUSES, dimanche 8 janvier 2023
« Immense coup de cœur pour ce premier roman de Camille Froidevaux-Metterie, que l’on connaissait déjà pour ses essais. Et ce premier roman-là, c’est, à n’en pas douter, un coup de maître ! »
« Immense coup de cœur pour ce premier roman de Camille Froidevaux-Metterie, que l’on connaissait déjà pour ses essais. Et ce premier roman-là, c’est, à n’en pas douter, un coup de maître ! »
« « Pleine et douce » est un roman choral de femmes, sur les femmes et par des femmes. Sensible et multiple, ce récit raconte la vie des femmes d’une même famille d’âges différents et dont les vies sont aussi lointaines que parfois étrangement proches. »
« La violence du réel, du quotidien : nul ne l’aura mieux décrite que John McGahern dans « L’obscur », sous la forme d’un affrontement entre un père autoritaire et violent et un adolescent tourmenté, désireux d’échapper aux contraintes qui l’accablent. Certes, l’Irlande de 2022 n’est pas celle de 1940, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts de la Liffey, mais la réédition de ce repère important dans l’histoire littéraire irlandaise s’imposait – même force et même conviction. »
« Camille Froidevaux-Metterie prend ses distances avec la théorie pour embrasser une littérature intime et charnelle, […] l’écrivaine propose une expérience incarnée et aborde au passage un nombre de sujets féministes conséquent, en même temps qu’elle tisse une réflexion profonde sur la transmission. »
« « L’Obscur » propose une résolution où le pardon brille. »
« The prize was awarded on Thursday in Paris to Sarah Jollien-Fardel for “Sa Préférée,” or “His Favorite,” about a woman struggling to cope with the legacy of her father’s physical and psychological abuse. »
« À la fois fluide et tumultueux, le tourbillon de sa vie fait tourner les pages à folle vitesse. En surplomb : le calme, la maturité. »
« Un manifeste sans appel contre la violence et la tyrannie des hommes. »
« Sa vie est perpétuelle, mouvementée et vibrante. Dans la comédie humaine l’acteur a su se libérer d’entraves récurrentes. »
« Kéthévane Davrichewy donne la parole à ses personnages avec beaucoup d’empathie et de douceur. »