WWW.MEDIAPART.FR, Frédéric L’Helgoualch, vendredi 7 janvier 2022
« Morsures de la rue, sévices de la mémoire : étourdissant Bleu nuit »
« Morsures de la rue, sévices de la mémoire : étourdissant Bleu nuit »
« Des pages magnifiques ourlées d’une écriture puissante, belle jusqu’à l’apnée, tant marcher sur le fil de la vie, de la mémoire est un risque aussi périlleux que la survie. »
« Ce second roman est une folle course contre le passé et ses souvenirs, une marche affolée aux côtés d’un narrateur méthodique. Faits de poésie et de la rue, la tendresse pour le narrateur n’est ni forcée ni admirative. Une plongée dans Paris et l’enfer de ses rues. »
« Le bleu, nuance aigüe de l’obscurité »
« L’auteure de « Mauvaises herbes », premier roman aux multiples prix, a fait l’honneur à Ici Beyrouth d’accorder sa toute première interview sur « Bleu Nuit » à paraître le 6 janvier chez Sabine Wespieser. »
« Vincent Borel imagine dans « Vertige de l’hélice », roman charnel et régénérant, l’escapade de Charles Sanois, nom d’emprunt de l’artiste, sous le soleil des Canaries. »
« Un roman plein de soleil, d’azur, de sensibilité et d’humour parfois mordant, avec en particulier quelques jolies piques en direction du monde opératique parisien. »
« Dima Abdallah signe « Bleu nuit », le poids de la mémoire »
« Un roman hypnotique, brûlant, poétique et mystérieux, magistralement nourri d’un réalisme magique qui n’enjolive rien de cette ville de Belfast toujours au bord de l’explosion mais dégage une énergie puissante et positive. »
Une interview de Joséphine Lebard à propos de la lecture de Marie Richeux sur les images du réalisateur Stefan Cornic.