Maison d’édition littéraire
« Catherine Mavrikakis, écrivaine-universitaire vivant au Québec, en est à son septième roman et c’est tout à l’honneur de la maison d’édition Sabine Wespieser que de proposer son œuvre puissante et stimulante au plus grand nombre ici, dans l’hexagone. »
« Chicago » de Marion Richez parmi les huit romans en compétition pour le Prix Cazes-Brasserie Lipp 2020.
« Dans le roman de Catherine Mavrikakis, l’exfiltration d’une espionne dans un étrange appartement refuge devient prétexte à une fabuleuse joute littéraire […] »
« Duel raffiné entre une agente qui n’a pas froid aux yeux et un Cubain excentrique, dans un huis-clos où sont tenus enfermés une bande d’espions. […] »
« L’écrivaine québécoise place les morts au cœur de ses romans. Mais « le rire est plus fort que tout », dit-elle. »
« L’écrivaine québécoise place les morts au cœur de ses romans. Mais « le rire est plus fort que tout », dit-elle. […] »
« Ce livre […] se situe entre le roman d’espionnage, le roman d’enfermement et la métafiction. La figure clé en est Anne Frank, qui depuis toujours fascine Anna, agent secret. […] »
« Parenthèse dans une vie, « Chicago » raconte l’amitié fusionnelle de Ramona, Jonathan et Suzanne, trois personnes qui n’avaient rien pour s’entendre mais qui passeront une année à s’aimer. […]
« Marion Richez publie « Chicago » aux éditions Sabine Wespieser. Une déambulation envoûtante dans Chicago. […] Cette histoire, c’est celle d’une amitié unique, magique, évanescente. Les trois se retrouvent tous les fins de semaine, ils parcourent la ville, écoutent de la musique, s’endorment blottis les uns contre les autres. […] »
« C’est incroyable ce que les morts sont bavards. Que diraient-ils s’ils pouvaient parler ? »