BLOG SYLLABUS, CONNECTEUR LITTÉRAIRE, WWW.SYLLABUS.CH, mardi 1er décembre 2015
« Dans un livre où la nature est partout présente, il nous livre un récit intimiste, épique et romantique, où la survie tient à peu de mots. […] »
« Dans un livre où la nature est partout présente, il nous livre un récit intimiste, épique et romantique, où la survie tient à peu de mots. […] »
« Pourquoi l’histoire d’un homme qui vit de façon simple, jusqu’au dénuement, au cœur des Alpes autrichiennes des années 1930 aux années 1970 nous intéresserait-elle ? […] »
« Écrivain, bûcheron mais aussi planteur d’arbres et pionnier de l’agriculture biologique, [André Bucher] pratique la sobriété heureuse, y compris sur le plan littéraire. […] »
« Le lecteur, l’heureux lecteur (insistons !) de L’Homme-Tigre apprend dès la toute première phrase du roman que Margio a assassiné Anwar Sadat. Il lira (une demi-douzaine de pages de description calme et méticuleuse) comment Margio a tué […] »
« André Bucher, dans son roman Déneiger le ciel,nous conte l’histoire d’un veuf d’une soixantaine d’années, David, qui jusqu’à présent déneigeait les routes de son village mais qu’une panne de tracteur va contraindre à l’immobilité. […] »
« Sans doute un des plus étranges romans de cette rentrée littéraire. Rien que le titre… Le roman commence comme un polar, avec un meurtre, celui d’Anwar Sadat, un notable local inoffensif. De plus l’on connaît le coupable, Margio. Interrogé par les autorités, celui-ci va juste répondre : Ce n’est pas moi, il y a un tigre dans mon corps. […] »
« La vie peut-elle être désespérante ? Et dans ce cas, pourquoi s’accrocher à elle ? Ces questions trouvent des réponses dans le roman, saisissant, de Robert Seethaler, Une vie entière. […] »
« Le soir où Margio assassina Anwar Sadat, Kyai Jahro était captivé par ses poissons dans leur bassin. C’est par cette phrase explicite et mystérieuse que s’ouvre le roman. Explicite parce qu’on sait d’entrée de jeu qu’un meurtre a été commis […] »
« L’Homme-Tigre, deuxième roman de l’écrivain indonésien Eka Kurniawan et le premier traduit en France, fait partie des belles découvertes de la rentrée. Ne passez pas à côté de l’invitation au voyage offerte par ce petit bijou ! […]»
« Un grand roman original, touffu, ludique, et aussi un impressionnant récit historique. L’auteur mène une grande enquête sur différents personnages et, à partir de la vie d’Abraham Mendelssohn, jusqu’à 750 figures sont évoquées, depuis le dix-huitième siècle jusqu’au vingtième. […] »