BLOG « CALOU, L’IVRE DE LECTURE », PASCALE ARGUEDAS
« Comme elle l’avait magnifiquement fait pour Victor Dojlida, Michèle Lesbre sort de l’ombre Marion du Faouët, déjà croisée dans Le Canapé rouge en compagnie d’Olympe de Gouges. […] »
« Comme elle l’avait magnifiquement fait pour Victor Dojlida, Michèle Lesbre sort de l’ombre Marion du Faouët, déjà croisée dans Le Canapé rouge en compagnie d’Olympe de Gouges. […] »
« Lorsque, avec ensemble, la presse anglo-saxonne a salué la parution des Petites Chaises rouges comme une œuvre majeure (avec appel du pied pour le Nobel), Edna O’Brien, irlandaise, 84 ans, pas mal de prix littéraires à son actif, a sobrement commenté : l’était temps. De la lire, surtout, si ce n’est déjà fait. […] »
« Se plonger dans un livre de Nuala O’Faolain ne relève pas de la simple promenade littéraire. Impossible de garder le cœur froid et les yeux secs par rapport à son texte et ne pas se sentir concerné par sa vie. Son histoire vous implique, vous entame, vous interpelle et vous pousse à reconsidérer votre propre existence. […] »
« Après la publication de ses mémoires, parus en France il y a quatre ans sous le titre Fille de la Campagne, Edna O’Brien revient au roman avec Les Petites Chaises rouges, une magnifique histoire de honte et de rédemption. […] »
« Vincent Borel, l’auteur de Fraternels s’est posé devant les journaux, a lu et regardé le monde tel qu’on arrive à se le représenter dans le prisme d’articles divers et variés. »
« […] C’est un roman passionnant, très prenant, autour d’une période dramatique de l’Histoire contemporaine mais qui trace aussi le parcours étonnant d’une femme de courage qui veut vivre pleinement sa vie. […] »
« Un nouveau roman de l’Irlandaise Edna O’Brien est toujours un événement. Sabine Wespieser éditeur nous offre en cet automne, Les Petites Chaises rouges, une histoire forte et réaliste, une histoire de mensonge, mais surtout un admirable portrait de femme. […] »
« La disposition des personnages dans L’amour a le goût des fraises fait penser (parallèle peu littéraire, concédons) au tirage au sort qui précède une compétition sportive. […] »
« Une écriture éblouissante sur un sujet très sombre, et dérangeant. […] »
« […] En transformant cette matière journalistique (patiemment collectée depuis plusieurs années) en une fiction échevelée et libertaire. »