ZIBELINE, Marie-Jo Dhô, jeudi 21 avril 2016
« Serge Mestre, comme les « anatifes » ou autres « cirripèdes » dégustés dans son roman qui ont pour particularité de se développer accrochés à leur support, étoffe inlassablement de l’intérieur sa proximité avec les événements de la guerre d’Espagne depuis ses précédents romans (La Lumière et l’Oubli ou Les Plages du silence) […] »