WWW.ONLALU.COM, Pascale Frey, janvier 2014
« Elle est arrivée en France en 2006, fuyant un régime qu’elle combattait et continue à combattre depuis Paris. Elle envoie des essais, sous le manteau, au Vietnam. […] »
« Elle est arrivée en France en 2006, fuyant un régime qu’elle combattait et continue à combattre depuis Paris. Elle envoie des essais, sous le manteau, au Vietnam. […] »
« Il y a dans ces trois personnages une volonté commune de s’émanciper, de se libérer d’un passé parfois trop lourd à porter. Pour Esther Weiss, c’est l’héritage familial : l’arrivée de ses parents en Israël, parsemée d’embûches, de drames, d’attentes à travers des camps de transit en Europe […] »
« 4. Les textes de Marie Richeux fonctionnent par condensation. Ce qu’elle déplie, ce sont des instants, des gestes saisis, des regards, et toutes ces banalités que seule la littérature fait percevoir.[…] »
« Au rayon vert de la littérature sur le parfum, le dernier opus de Jean-Claude Ellena (maître parfumeur, aujourd’hui chez Hermès) délaisse la formule du carnet pour le roman. Autour des mésaventures d’un nez célèbre évincé d’un lancement […]»
« Le mélange de la musique et des mots ? Une association que semble parfaitement maîtriser Léonor de Récondo, l’auteur de l’œuvre Pietra viva. En effet, si les mots semblent sonner comme des notes de musique, c’est sans doute parce que Léonor de Récondo est une célèbre violoniste baroque. […] »
« J’ai aimé et j’ai admiré, j’ai redécouvert et réappris, j’ai senti et touché. Des mots purs et d’une simplicité étonnante qui permettent une plongée rare et vous retournent le coeur. […] »
« Pietra viva, c’est la bonne surprise de la rentrée littéraire. […] J’ai été captivée par le récit que nous fait Léonor de Récondo. L’auteur a une très belle plume, les mots coulent tout seul, les pages défilent et avant que l’on s’en rende compte… on a terminé le roman ! »
« Un triangle, deux hommes pour une bachelière se préparant à faire son service militaire, tout cela n’est que la partie émergée du monde des débuts des années 1960 au sein d’Israël, avec ses immigrés venus d’une Europe en reconstruction après les ravages […] »
« Michelangelo a trente ans ; déjà (re)connu pour sa Piéta et son David, il se rend à Carrare afin de sélectionner les blocs de marbre nécessaires au mausolée que lui a commandé de son vivant le pape Jules II. […] »
« Qu’on ne s’y méprenne pas, Pietra viva, de Léonor de Récondo n’est pas un roman historique, ni une étude d’histoire de l’art. […] »