LIVRES HEBDO, Olivier Mony, vendredi 21 novembre 2014
« Bon sang ne saurait mentir. Si son père n’avait pas décidé de mettre fin à sa brillante carrière d’architecte pour se consacrer à la sculpture et à la peinture […] »
« Bon sang ne saurait mentir. Si son père n’avait pas décidé de mettre fin à sa brillante carrière d’architecte pour se consacrer à la sculpture et à la peinture […] »
« Dans toute cette histoire, il faudra tenir compte du vent, du sel, de l’eau, et pas seulement des hommes et des femmes, murmure la jeune naufragée du Bain de lune, de l’Haïtienne Yanick Lahens, qui vient de recevoir le prix Femina. […] »
« […] Il faut se laisser envoûter par sa prose brûlante, où rôdent l’amour et le vaudou, l’eau-de-vie de canne à sucre, l’honneur et la rage. Il faut se rendre à Anse Bleue, près des jardins d’ignames, où les morts parlent […] »
« Depuis leur première sélection, certaines dames du jury Femina nous confiaient leur désir de ne pas couronner une vedette de la rentrée littéraire. Elles ont tenu parole […] en distinguant, […] Yanick Lahens, […] »
« L’Haïtienne a été consacrée lundi pour son quatrième roman, tout en variations politiques […], chronique violente et poétique d’un conflit opposant deux familles ennemies dans un village côtier en Haïti. L’auteur a été élue […] »
« N’en déplaise aux esprits confinés de Saint-Germain-des-Prés et à ceux qu’effraierait le métissage littéraire, les jurées du Femina confirment leur intérêt pour une francophonie venue d’horizons lointains en couronnant cette année, […] »
« Lundi 3 novembre, le Femina a fait souffler un grand vent chaud des îles en couronnant l’Haïtienne Yanick Lahens pour son roman Bain de lune. Un joli nom pour un livre épique, qui raconte une saga familiale tourmentée sur fond de tumultes politiques. […] »
« Robert Seethaler parvient ici à proposer un autre regard sur la grande Histoire et sur un Freud vieillissant et au bord de l’exil. Tout en finesse et en demi-teinte, Le Tabac Tresniek se lit à la fois comme une éducation sentimentale et comme une tragédie feutrée. […] »
« Le dernier roman de Yanick Lahens, Bain de lune, emprunte aux tableaux des maîtres haïtiens un sens précis de la couleur et une distribution de personnages en silhouettes répétitives et pourtant différenciées. Alors que son roman précédent, […] »
« De ce siècle qui s’achève, j’ai vécu les passions brûlantes et les frissons gelés, écrit Vlady à son fils Karl dans une longue lettre de réconciliation, au début des années 1990.» […]