TECHNIKART, mars 2014
Avec cet extrait des Vrais Paradis, François Jonquet nous plonge dans la folie des boîtes de nuit XXL de la fin des années 70. Prêts pour le grand saut ?
Avec cet extrait des Vrais Paradis, François Jonquet nous plonge dans la folie des boîtes de nuit XXL de la fin des années 70. Prêts pour le grand saut ?
Lire aussi le portrait croisé de Kéthévane Davrichewy et Alex Beaupain. « L’une vient d’écrire un roman, Quatre murs, sur une fratrie déchirée et l’autre est en tournée pour son album, Après moi le déluge. Ils sont amis à la vie à la mort. »
« Il est de ces romans qui nous apprennent quelque chose sur nous. Une famille, quatre enfants soudés devenus des adultes. Quatre murs. Les aînés ont réussi : Saul dirige un grand quotidien, Hélène est nez en parfumerie. […] »
« Un très beau roman en forme de plaidoyer pour la tolérance. Duong Thu Huong est une remarquable ambassadrice de la culture vietnamienne. […] »
« Ils sont les piliers d’un temple secret : Saul le frère aîné, Hélène la cadette au caractère indépendant, Élias et Réna, les jumeaux fragiles. […] »
« Ils se retrouvent entre quatre murs. Les quatre murs de la maison, qu’ils viennent de vendre. Mais aussi les quatre murs de leurs existences, enfermés dans leurs souvenirs et dans les rôles attribués à chacun. […] »
« Après La Mer Noire et Les Séparées, la romancière confirme son talent de fine analyste des âmes. Dans Quatre murs, ils sont quatre enfants : Saul, l’aîné, Hélène, sa cadette, Élias et Réna, les jumeaux, les petits derniers. […] »
« Après La Mer Noire, roman des origines géorgiennes, et Les Séparées, sur l’amitié féminine, Kéthévane Davrichewy dissèque avec délicatesse et habileté les liens complexes d’une fratrie hantée par un passé familial douloureux. […] »
« Les romans de Kéthévane Davrichewy ont toujours été construits sur des chiffres : un pour La Mer Noire, sur le crépuscule d’une exilée, deux pour Les Séparées, sur l’emprise en amitié, et quatre pour le livre qui paraît aujourd’hui, sur une fratrie adulte aux prises avec les souvenirs familiaux. […] »
« L’immense talent de conteuse, la puissance d’évocation de l’écriture de Duong Thu Huong entraînent le lecteur dans le Vietnam de la fin des années 1980, et lui permettent de mieux comprendre cette société meurtrie par son histoire récente mais éprise de renouveau. […] »