LUXEMBURGER WORT, Sophie Guinard, samedi 15 février 2014
« Un très beau roman en forme de plaidoyer pour la tolérance. Duong Thu Huong est une remarquable ambassadrice de la culture vietnamienne. […] »
« Un très beau roman en forme de plaidoyer pour la tolérance. Duong Thu Huong est une remarquable ambassadrice de la culture vietnamienne. […] »
« Ils sont les piliers d’un temple secret : Saul le frère aîné, Hélène la cadette au caractère indépendant, Élias et Réna, les jumeaux fragiles. […] »
« Ils se retrouvent entre quatre murs. Les quatre murs de la maison, qu’ils viennent de vendre. Mais aussi les quatre murs de leurs existences, enfermés dans leurs souvenirs et dans les rôles attribués à chacun. […] »
« Après La Mer Noire et Les Séparées, la romancière confirme son talent de fine analyste des âmes. Dans Quatre murs, ils sont quatre enfants : Saul, l’aîné, Hélène, sa cadette, Élias et Réna, les jumeaux, les petits derniers. […] »
« Après La Mer Noire, roman des origines géorgiennes, et Les Séparées, sur l’amitié féminine, Kéthévane Davrichewy dissèque avec délicatesse et habileté les liens complexes d’une fratrie hantée par un passé familial douloureux. […] »
« Les romans de Kéthévane Davrichewy ont toujours été construits sur des chiffres : un pour La Mer Noire, sur le crépuscule d’une exilée, deux pour Les Séparées, sur l’emprise en amitié, et quatre pour le livre qui paraît aujourd’hui, sur une fratrie adulte aux prises avec les souvenirs familiaux. […] »
« L’immense talent de conteuse, la puissance d’évocation de l’écriture de Duong Thu Huong entraînent le lecteur dans le Vietnam de la fin des années 1980, et lui permettent de mieux comprendre cette société meurtrie par son histoire récente mais éprise de renouveau. […] »
Coup de cœur de la rentrée de janvier.
« Est-ce qu’on transforme le passé avec le temps ? Ou chacun le voit-il à sa façon ? Le nouveau roman de Kéthévane Davrichewy explore avec une grande justesse les relations fraternelles et le rapport au passé. […] »
« Duong Thu Huong décrit admirablement l’emprise des sens sur un adolescent. […] Ce roman, sombre et superbe, se joue dans l’horreur du bagne mais aussi dans un Viêtnam aux jardins odorants, aux paysages fondus dans la brume, à la cuisine raffinée. […] »