LE MATRICULE DES ANGES, Yann Fastier, novembre-décembre 2022
« Roman d’une sombre clarté, loin du récit national né de la lutte pour l’indépendance. Affranchi du collectif, l’individu s’éveille seul dans un lit froid. »
LE MATRICULE DES ANGES, Dominique Aussenac, novembre-décembre 2022
« La force de ce roman, c’est d’abord la simplicité de son écriture, un peu comme celle d’Annie Ernaux, une écriture de la quotidienneté avec ses petits riens, ses non-dits, ses silences. »
ÉCHO MAGAZINE, Thibaut Kaeser, jeudi 10 novembre 2022
« Avec « Sa préférée », l’auteure et journaliste valaisanne Sarah Jollien-Fardel signe un premier roman très fort sur la violence domestique et les blessures familiales. »
ELLE, Flavie Philipon, jeudi 3 novembre 2022
« Byrne poursuit à travers ses souvenirs une saisissante quête de sincérité. »
VERSION FEMINA, Anne Michelet, dimanche 30 octobre 2022
« En abordant la violence des hommes et la lâcheté, Sarah Jollien-Fardel évite avec subtilité tout apitoiement et offre même des moments lumineux dans son très beau livre. »
SUD OUEST, Olivier Mony, dimanche 23 octobre 2022
« Avec « Mes fantômes et moi », le comédien inoubliable dans « Excalibur » ou « Usual Suspects » signe un authentique objet littéraire innervé par sa terre natale. »
MADAME FIGARO, Colombe Schneck, vendredi 21 octobre 2022
« Jeanne, la narratrice du roman de Sarah Jollien-Fardel, raconte la brutalité d’un père de famille, d’un époux, et elle y va directement, pas d’effets, de périphrases, de pathos. »
KELTIA, LE MAGAZINE DES MONDES CELTES, Robert Martin, automne-hiver 2022
« La tempérance lui a rendu la mémoire, il faut croire, et les souvenirs déferlent, pêlemêle. »
PAGE DES LIBRAIRES, Pauline Régnacq, librairie le Failler (Rennes), automne 2022
« Balançant sans cesse entre seconde et troisième personne du singulier, ce récit duquel plane un étrange mystère fait écho à nombres de passages de la vie de son auteur. »
LE PARISIEN WEEK-END, Yolaine de Chanaud, samedi 15 octobre 2022
« Ce récit sur la douleur et l’impossibilité de trouver la paix est le plus percutant de la rentrée littéraire. »