LA CROIX, Emmanuelle Giuliani, jeudi 6 décembre 2018
« Ni biographie, ni pure fiction, ce roman est d’abord un joyau littéraire par la beauté de son écriture, évocatrice, dense et racée. […] »
« Ni biographie, ni pure fiction, ce roman est d’abord un joyau littéraire par la beauté de son écriture, évocatrice, dense et racée. […] »
« Peut-on produire un chef-d’œuvre artistique sans avoir jamais aimé ou connu les plaisirs de la vie ? C’est le sujet passionnant qu’explore Vincent Borel à travers le récit d’Anton Bruckner (1824-1896). […] »
« Le compositeur Anton Bruckner devient une figure fascinante sous la plume de l’écrivain. […] En adossant la vie à la mort, La Vigne écarlate reproduit les hantises et les ambitions de son personnage. […] »
« […] Chaque mot sonne juste dans ce texte vibrant sur le deuil. « Clore une vie, avant d’en commencer une autre faite de souvenirs et de pensées », voilà ce que réussit parfaitement Léonor de Récondo, dans ce corps-à-corps bouleversant. »
« […] Loin d’être aussi célèbre que Richard Wagner, qui l’a beaucoup inspiré, Anton Bruckner revient littéralement à la vie, près de deux cents ans après sa naissance, sous la plume érudite de Vincent Borel. […] »
« […] On lit d’une traite à la fois un polar et un poème, en une langue étrange et familière que personne ne pratique vraiment. […] »
« D’une écriture remarquable, Vincent Borel livre dans un tourbillon d’images et de sensations la vie tout entière absorbée par la musique d’Anton Bruckner. […] »
« […] Le premier roman de Conor O’Callaghan, poète et enseignant à l’univeristé de Sheffield, enveloppe comme un brouillard du matin : du flou, des formes familières, des sensations. […] »
« […] Avec une nervosité narrative qui nous tient en haleine et une subtilité suggestive qui autorise les interprétations, le poète irlandais Conor O’Callaghan signe un roman troublant sur l’innocence, les remords et la culpabilité. Envoûtant. »
« Au début, « elle » est un regard-caméra, tournant autour des silhouettes qui traversent l’aéroport, éternellement pressées, sûres de leur destination. […] »