LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ, Nicolas Manificat, lundi 22 août 2016
« Avec Fraternels, Vincent Borel imagine le futur et parle de technologie, d’islam et d’écologie. Iconoclaste, ce livre pourrait faire beaucoup de bruit. » […]
« Avec Fraternels, Vincent Borel imagine le futur et parle de technologie, d’islam et d’écologie. Iconoclaste, ce livre pourrait faire beaucoup de bruit. » […]
« […] Ce handicap lui vaudra bien des moqueries dans l’enfance, et de se sentir régulièrement exclu des petites bandes… autant que de la marche du monde. […] »
« Fraternels démarre en fanfare, continue tambour battant, passe par une rave party, un air tzigane et s’achève en apothéose, genre « chevauchée des Walkyries ». C’est un hymne à un avenir heureux, un futur où l’espoir est finalement permis, où les choses vont changer pour aller mieux. Un anti-Soumission… » […]
« Après des années loin de sa ville natale, Montréal, Oscar de Profundis est de retour. Depuis sa fuite après la mort tragique de son jeune frère, c’est dans une ville métamorphosée qu’il revient. […] »
« Avec Les Petites Chaises rouges, la romancière irlandaise poursuit ses variations sur la condition féminine à travers l’histoire d’une jeune femme dont l’existence est ravagée par une rencontre dramatique. Splendide ! […] »
« Un homme meurt et des pages de vie se tournent. L’annonce de la disparition, au Cap, du peintre Ivor Woodall, dans la vigueur poivre et sel de ses 42 ans, plonge ses élèves dans un état de sidération, tant ils furent marqués par leur passage dans son atelier. […] »
« Le peintre Ivor Woodall, professeur de peinture de modèles nus au Cap (Afrique du Sud), meurt subitement ; la lecture de sa nécrologie bouleverse ses élèves. […] »
« Ce titre doux, tiré de la chanson de Miriam Makeba Love Tastes Like Strawberries, masque un livre beau et âpre. Son auteure sud-africaine aime les héroines blessées qui se battent pour se relever. […] »
« La Canadienne Catherine Mavrikakis se glisse dans un monde crépusculaire, dont la noirceur tranche avec la finesse de sa plume poétique. […] »
« Un couple d’Américains en voiture, dans le désert de Chihuahua, au Mexique. Il est universitaire, elle est céramiste. Le prétexte du voyage, c’est partir sur les traces d’Ambrose Bierce (1842-1914), venu rejoindre l’armée de Pancho Villa […] »