MIDI LIBRE, M. Pl., vendredi 13 mars 2015
« Avec bonheur, Michèle Lesbre ose la lenteur. Car elle aime les chemins de traverse. Déjà, dans d’autres de ses romans, la narratrice errait, ramassant au passage quelques bribes de souvenirs comme autant de cailloux de Petit Poucet sur ces chemins détournés qui mènent à soi. […] »