ACTUALITTÉ, Valentine Costantini, mardi 27 décembre 2022
« « L’Obscur » propose une résolution où le pardon brille. »
THE NEW YORK TIMES, Aurelien Breeden, jeudi 15 décembre 2022
« The prize was awarded on Thursday in Paris to Sarah Jollien-Fardel for “Sa Préférée,” or “His Favorite,” about a woman struggling to cope with the legacy of her father’s physical and psychological abuse. »
TÉLÉRAMA, « nos vingt meilleurs romans de 2022 », jeudi 15 octobre 2022
« À la fois fluide et tumultueux, le tourbillon de sa vie fait tourner les pages à folle vitesse. En surplomb : le calme, la maturité. »
LES ÉCHOS, sélection des « 12 romans à offrir », Philippe Chevilley, mardi 13 décembre 2022
« Un manifeste sans appel contre la violence et la tyrannie des hommes. »
BLOG Issue Fractale ? , « prétendre que tu es un fantôme », Jérôme Fabre, 9 octobre 2022
« Sa vie est perpétuelle, mouvementée et vibrante. Dans la comédie humaine l’acteur a su se libérer d’entraves récurrentes. »
WWW.BLOG.CULTURE.31, Sylvie Vaz, dimanche 27 novembre 2022
« Kéthévane Davrichewy donne la parole à ses personnages avec beaucoup d’empathie et de douceur. »
ACTUALITTÉ, Barbara Fasseur, jeudi 1er décembre 2022
« Ce récit clairement autobiographique se lit comme un art poétique de l’écrivaine. »
TRANSFUGE, « Quand la Géorgie vous prend à la gorge », Lucien d’Azay, lundi 5 décembre 2022
« Hantée par l’exil et la nostalgie, l’auteure des « Séparés » et de « L’autre Joseph » revient sur la vie déchirante des Géorgiens émigrés en France avant la chute du mur de Berlin. »
LE FIGARO.FR, lundi 21 novembre 2022
La dernière liste du prix Goncourt des Lycéens, qui sera décerné le jeudi 24 novembre, réunit quatre auteurs dont une primo romancière.
ARCHIPEL, Revue Littéraire Romande, Permanence de la violence, Ami Lou Parsons, lundi 7 novembre 2022
« La violence est un langage qui, une fois appris, ne s’oublie pas et tend à ressurgir. Lorsqu’elle est subie se pose avant tout la question de la survie : comment y échapper ? Pourtant, une fois le danger physique écarté, que reste-t-il ? »