BABELIO.COM, jeudi 25 juin 2020
« Dans ce roman empreint de sensibilité Christine de Mazières nous interroge, nous interpelle sur un sujet ô combien douloureux, clivant, et essentiel. »
« Dans ce roman empreint de sensibilité Christine de Mazières nous interroge, nous interpelle sur un sujet ô combien douloureux, clivant, et essentiel. »
« Un second roman qui confirme le talent découvert avec « Trois jours à Berlin ». »
« Comme il fut bon de vous relire, très chère Christine de Mazieres. Notre première rencontre à travers votre inoubliable roman « Trois jours à Berlin », j’ai retrouvé dans « La Route des Balkans », la même sensation, celle d’être avec vos personnages. […] »
« Un livre précieux, qui décillerait intelligemment les yeux de ce qui préfèrent regarder ailleurs ou se barricader derrière des mots génériques alors que tant de vies se font écrabouiller à leurs portes […] »
« Ce presque polar à la mécanique parfaite tient aussi du roman d’aventures haletant et du récit. »
« Une jasette avec l’une des écrivaines les plus influentes du Québec, qui insiste pour donner ses cours à distance à ses étudiants – « car il faut montrer qu’on est encore là, les adultes » , dit-elle. »
Oscar de profundis ou la furie des humiliés. Fascisme et déshumanisation victorieux sur un tas de cendres. L’écriture et la pensée denses de Catherine Mavrikakis font de cet ouvrage un roman à clés traitant aussi de l’importance de l’art, gardien de notre mémoire commune.
« Catherine déteste les cimetières, surtout celui de Montmartre où elle est obligé d’aller régulièrement car ses amis y sont souvent enterrés et nombre d’entre eux se prénomment Hervé. »
« Décidée à rompre un temps ses liens avec l’Europe, Ramona atterrit à Chicago à l’entame de l’année scolaire, pour enseigner le français à l’Université. »
« Une jasette avec l’une des écrivaines les plus influentes du Québec, qui insiste pour donner ses cours à distance à ses étudiants – « car il faut montrer qu’on est encore là, les adultes », dit-elle. »