WWW.JOURNALZIBELINE.FR, Fred Robert, mercredi 5 octobre 2016
« […] En transformant cette matière journalistique (patiemment collectée depuis plusieurs années) en une fiction échevelée et libertaire. »
« […] En transformant cette matière journalistique (patiemment collectée depuis plusieurs années) en une fiction échevelée et libertaire. »
« De Vincent Borel, l’on connaît sa brûlante passion pour l’opéra qu’il dissèque régulièrement au sein d’Opéra Magazine. […] »
« Ce roman d’anticipation qui flirte avec la science-fiction m’a procuré un vrai plaisir de lecture. Je me suis vue embarquée d’un chapitre à l’autre, d’un continent à l’autre. […] »
« […] Catherine Mavrikakis, dans cette fable apocalyptique, dessine un enfer qui est d’autant plus effrayant qu’il n’est qu’une projection caricaturale de notre présent poussé à l’extrême. […] »
« Que se passe-t-il quand, sous les traits d’un homme venu d’ailleurs, l’Histoire fait irruption dans un petit monde clos ? L’Irlandaise Edna O’Brien, dans son dernier livre Les Petites Chaises rouges, a voulu explorer cette énigme. […] »
« On avait adoré son livre de mémoires, Fille de la campagne, qui nous transportait dans le Londres des sixties. […] »
« Dans ce nouveau chef-d’œuvre qui commence comme un conte irlandais et s’achève sur un monde urbain ultra-contemporain, Edna O’Brien dresse le portrait d’une femme exclue de la société pour avoir côtoyé le mal et signe une œuvre ambitieuse, polyphonique et subtile, sur l’innocence perdue et la culpabilité. »
« Une merveilleuse fable d’anticipation […]. Où un chanteur drogué a construit une gigantesque bibliothèque destinée à préserver les livres disparus suite à la numérisation massive, où un petit libraire tenace continue de distribuer un journal interdit suite à la politique d’élimination du papier, […] »
« L’auteure québécoise Catherine Mavrikakis a l’art des atmosphères, qu’elle déploie ici dans une dystopie, un récit qui met en scène un futur sombre. […] »
« Huit ans après sa parution, La Couleur de l’aube est réédité en poche, et c’est une excellente initiative. Une grande humanité se dégage de ce roman. […] »