BLOG LES LECTURES DE BOUCH, Adeline Berjot, jeudi 1er mai 2014
« S’il est très court, Quatre Murs n’en est pas moins captivant. Pas captivant dans le sens où je voulais absolument savoir ce qu’il allait se passer. […] »
« S’il est très court, Quatre Murs n’en est pas moins captivant. Pas captivant dans le sens où je voulais absolument savoir ce qu’il allait se passer. […] »
« Les Vrais Paradis sont un hymne à un âge d’or de la nuit parisienne, les années Palace. Dans ce roman autobiographique, François Jonquet raconte l’histoire d’un jeune homme qui vient de monter à Paris pour échapper à la torpeur de sa ville de province. […] »
« Quatre murs de Kéthévane Davrichewy est un roman d’une sensibilité et d’une justesse étonnantes. Charmée par La Mer Noire et touchée par Les Séparées, j’ai entrepris de découvrir son dernier titre. […] »
« Il y a surtout une discothèque, le monde de la nuit, des lumières artificielles, un trip urbain évoqué par un narrateur qui veut sentir son cœur battre et tout essayer. […] »
« Je vois tout ce qui se cache à l’intérieur des pierres. Les pierres, ce sont les grands blocs de marbre que Michelangelo Buonarroti va chercher dans la région de Carrare. […] »
« Le roman s’ouvre sur une prison dans les montagnes isolées du Vietnam. Trois milles prisonniers ; des condamnés à mort, des prisonniers de droit commun, condamnés au travaux forcés… et le jeune Than qui se souvient comment il en est arrivé là… […] »
« Ils se tiennent aux quatre coins de la pièce. Ce n’est pas intentionnel, ça s’est trouvé comme ça. Chacun fixant une ligne imaginaire, et pensant à quoi ? […] »
« Quand j’ai su qu’il parlait d’histoires et de secrets de famille, ce roman m’a tout de suite attirée. Et j’ai drôlement bien fait de me laisser tenter car j’ai énormément aimé cette histoire qui parle certes de famille, de relations entre frères et sœurs, de secrets, de non-dits mais aussi d’émancipation. […] »
« L’image est son moyen d’expression favori ; elle sait aussi raconter. On en jugera en lisant Au doigt et à l’œil, autoportrait qu’elle a écrit en échangeant avec Valérie Dereux. Un livre né à l’oral comme en témoigne sa vivacité. L’existence de Françoise Huguier est passionnante. […] »
« Des pays, Françoise Huguier en a connus. Elle a couru partout avec toujours la même acuité dans l’œil et le même réflexe dans le doigt. Après avoir tant photographié le monde et les autres, Françoise Huguier procède enfin à son autoportrait. L’autobiographie d’une femme d’exception. »