BLOG SMALL THINGS, jeudi 28 août 2014
« Un premier roman maîtrisé. Une belle virtuosité littéraire et un sens du rebondissement […]. Le style de L’Odeur du Minotaure est maîtrisé, enlevé. […] »
« Un premier roman maîtrisé. Une belle virtuosité littéraire et un sens du rebondissement […]. Le style de L’Odeur du Minotaure est maîtrisé, enlevé. […] »
« C’est un roman court que l’on lit rapidement. On est happé par l’écriture tendue, nerveuse, précise et concise mais aussi par moment poétique de l’auteur. […] »
« Peut-être avez-vous déjà vu ou entendu Marion Richez. Dans l’émission Philosophie d’Arte, où elle est venue parler du corps – son sujet de recherche – ou de la joie. Peut-être dans le long-métrage qu’Abraham Segal a consacré à Camus. […] »
« Depuis la parution en France du Ciel de Bay City en 2009, puis des Derniers Jours de Smokey Nelson en 2012, la renommée d’écrivaine virtuose de Catherine Mavrikakis a dépassé le Québec. […] »
« Une grande fresque qui retrace à la fois le parcours de ces découvreurs, mais aussi les événements mondiaux […] »
« L’ouvrage retrace chronologiquement la vie riche et mouvementée de Françoise Huguier, comme un véritable roman d’aventures découpé en dix chapitres. De son enlèvement par les Viêt-minh à l’âge de 8 ans, à l’élaboration de l’exposition Bamako photo […] »
« Ce roman est déroutant et envoûtant à la fois. Nous suivons une jeune femme au statut social élevé, qui écrit les discours d’un ministre. Mais le jour où elle va renverser un cerf… sa vie bascule… Elle va sombrer… […] »
« Notre libraire indépendante du bout de la rue a fini par bien connaître Marion Richez, à force de la voir tourner autour de ses bouquins. Marion, qui vit de l’autre côté du boulevard Blanqui, dans une ruelle de la Butte, a sorti le 28 août L’Odeur du minotaure. […] »
« L’Odeur du Minotaure se répand entre mes deux oreilles, sous mon nez, sur ma bouche. Je sens les éclats sonores et silencieux de ma propre voix lisant le roman. […] »
« Un coup de coeur. […] L’épilogue est tout simplement fantastique. On suit Marjorie, qui est la narratrice, et sa décompensation après avoir heurté un cerf : sa vie si cadrée, si jaugée, éclate et elle va se mettre à vivre, même s’il s’agit d’une virée au fond du gouffre ! […] »