BLOG LE MONDE À CHACUN SA LETTRE, jeudi 21 mars 2013
« Écoute la pluie glisse lentement des mots et des images enfermés dans une parenthèse. Michèle Lesbre teinte le récit de quelques touches d’un rêve tragique et fondateur. […] »
« Écoute la pluie glisse lentement des mots et des images enfermés dans une parenthèse. Michèle Lesbre teinte le récit de quelques touches d’un rêve tragique et fondateur. […] »
« Le livre le plus délicat et le plus raffiné de la rentrée littéraire de janvier 2013 raconte l’histoire d’un vieil homme qui, avant de se jeter sur les rames du métro, adresse un dernier sourire à la narratrice, présente sur le quai. […] »
« L’écriture délicate et intime, émouvante et sans faux-fuyant [est] d’une infinie justesse. Poétique par moment, n’hésitant pas à être crue quand cela s’avère nécessaire, la langue fouille la confusion des sentiments jusqu’au trouble le plus profond. […] »
« C’est un court roman de 100 pages poétiquement appelé Écoute la pluie. C’est l’histoire d’une femme qui part retrouver l’homme qu’elle aime et qui sur le quai du métro va voir un vieil homme se jeter sur les rails après lui avoir adressé un dernier sourire. […] »
« Claire Keegan a l’art de concentrer dans ses nouvelles tout l’esprit de cette île à nulle autre pareille. Sa force, ses déchirements, sa rudesse, sa pluie et son herbe verte sur le noir des tourbières, la rousseur de ses enfants. Ce recueil est un véritable enchantement. […] »
« Portrait d’un prince en héros, celui-là même qui animait de véritables petits meetings et entonnait du Marx devant des parterres de communistes prosoviétiques, léninistes, trotskistes, maoïstes, bordiguistes… et dont la grande fille que la narratrice […] »
« Fortement recommandé ! »
« Quai de métro. Un vieil homme vêtu d’un imperméable beige. Il avait une allure assez délurée malgré la canne et sa voussure. La narratrice pense à son homme à elle, qu’elle s’apprête à rejoindre en Normandie, à l’hôtel des Embruns. […] »
« Les éditions Sabine Wespieser republient un texte qui date de 2001, Victor Dojlida, une vie dans l’ombre. Une autre figure d’homme l’habite, mais cette fois ce n’est pas un contrepoint, Victor Dojlida occupe le livre dans toute la brutalité de son destin. […] »
« Depuis longtemps je n’avais pris une telle claque. […] Huit nouvelles. Et un talent écrasant. Avec une épure digne de Raymond Carver, elle brosse le portrait d’une Irlande rurale […] »