PÈLERIN, Muriel Fauriat, jeudi 6 novembre 2014
« […] Il faut se laisser envoûter par sa prose brûlante, où rôdent l’amour et le vaudou, l’eau-de-vie de canne à sucre, l’honneur et la rage. Il faut se rendre à Anse Bleue, près des jardins d’ignames, où les morts parlent […] »