ELLE, Olivia de Lamberterie, vendredi 11 octobre 2013
« Ceci n’est pas un roman historique. Point de roulement de tambours ou de débauche de sentiments dans cet ouvrage qui se déroule, certes, au printemps 1505 en Italie. […] »
« Ceci n’est pas un roman historique. Point de roulement de tambours ou de débauche de sentiments dans cet ouvrage qui se déroule, certes, au printemps 1505 en Italie. […] »
« Un Michel-Ange dont on ne sait pas grand-chose, des incertitudes dont la romancière fait son miel en imaginant une intrigue aussi sensuelle que troublante, dont la force tient en des personnages proprement envoûtants. […] »
« Aucun des soixante textes de Polaroïds ne dépasse, en longueur, une page. Ce ne sont pas des histoires, mais des vies minuscules. Des instantanés, issus de l’émission de France Culture Pas la peine de crier, dans laquelle Marie Richeux lit […] »
« Proche des fameuses carrières de marbre blanc où Michel-Ange venait chosir ses blocs, la bourgade toscane inspire de nombreux artistes, des sculpteurs jusqu’aux auteurs. […] »
« Après Failles, témoignage écrit dans l’urgence après le séisme de janvier 2010 qui décrivait la combativité dont font preuve les Haïtiens dans les moments les plus tragiques, l’auteure Yanick Lahens revient avec Guillaume et Nathalie, […] »
« Carrare : éblouissante carrière de marbre où Michel-Ange passe quelques mois, en 1505, afin de choisir des blocs parfaits pour le futur tombeau du pape Jules II. […] »
« Avec une élégance qui le dispute à l’originalité du sujet, Léonor de Récondo nous transporte au cœur de l’activité créatrice de l’un des plus grands artistes de la Renaissance, Michelangelo Buonarroti. […] »
« Léonor de Récondo dresse un portrait simple et savant de Michel-Ange. L’artiste. Prodige précoce, la violoniste Léonor de Récondo s’est spécialisée dans la musique baroque, mais elle a également dirigé un opéra et travaillé en duo avec Émily Loizeau. […] »
« Aucun des soixante textes de Polaroïds ne dépasse, en longueur, une page. Ce ne sont pas des histoires, mais des vies minuscules. Des instantanés, issus de l’émission de France Culture Pas la peine de crier, dans laquelle Marie Richeux lit […] »
« Près de soixante-dix Polaroïds. Des poèmes lus à toute vitesse – mais chacun procèdera comme il veut. Et voilà que je ressors ébloui par l’expérience. La poésie comme je l’aime. Pas celle, mal rimée, qu’on cueille en recueils. […] »