BIBLIOTECA, mars 2013
« Edna O’Brien révèle dans ces mémoires à quel point rien d’autre dans sa vie n’importe vraiment sinon l’urgence d’écrire. »
« Edna O’Brien révèle dans ces mémoires à quel point rien d’autre dans sa vie n’importe vraiment sinon l’urgence d’écrire. »
« Infiniment mélancolique, ce beau texte de Michèle Lesbre parvient, dans une langue élégante et classique, à évoquer des vies minuscules. »
« Edna O’Brien publie ses mémoires poignants de mélancolie et de vivacité. […] C’est d’une plume d’une profonde humanité, guère apaisée, qu’O’Brien évoque aujourd’hui ces jours de colère et de tristesse. […] »
« Michèle Lesbre nous offre un nouveau roman doux et poétique sur l’importance de la vie et la beauté de chaque instant. »
« Elle va rejoindre l’homme qu’elle aime. Mais, dans le métro, un vieil homme se jette sur la voie. La vie, l’amour, ne tiennent-ils qu’à un fil ? […] »
« La réédition du livre de la Parisienne Michèle Lesbre sur Victor Dojlida est l’occasion de redécouvrir la vie de cet Homécourtois, droit et entier, qui a passé quarante ans en prison au sortir de la guerre et de Dachau. […] »
« Dernier métro »
« Michèle Lesbre, comme à son habitude, trace un portrait […] d’une sensibilité extrême. »
« Lion rugissant, avec sa crinière rousse où point le blanc de l’âge. Ainsi apparaît Richard Wagner déjà quinquagénaire quand Vincent Borel s’en saisit pour le portraiturer dans son Richard W., roman tout à fait flamboyant. […] »
« Je ne suis pas une raconteuse d’histoires. Je me mets toujours au service de quelque chose. Si c’est une émotion forte, il faut qu’elle travaille en moi. […] »
« On se souvient de la phrase de Modiano placée en épigraphe de Sur le sable : Il y a des êtres mystérieux – toujours les mêmes – qui se tiennent en sentinelles à chaque carrefour de votre vie. […] »