LA CROIX, Laurence Péan, jeudi 30 septembre 2021
« Un roman âpre signé par une remarquable autrice venue d’Irlande du Nord. »
LIVRES HEBDO, Olivier Mony, octobre 2021
« Dans cet infiniment gracieux Vertige de l’hélice, Vincent Borel confirme, qu’après ses ouvrages sur Wagner ou Lully, il est bien notre écrivain contemporain de la musique. »
L’INDÉPENDANT, mercredi 29 septembre 2021
« Son dernier roman Regarder, hommage à la photographie de Gerda Taro, a été salué par la critique et dresse le portrait d’une femme libre, volontaire, menant sa vie tambour battant et dont les événements tragiques de son époque n’altèrent ni la volonté farouche d’indépendance, ni la flamboyante force qui l’anime comme le montrent à la fois sa vie et ses photographies dévoilant le regard fin, lucide et exigeant qu’elle portait sur toute chose. »
VERSION FEMINA, H. R., dimanche 26 septembre 2021
« Un roman choral essentiel. »
LE JOURNAL DU DIMANCHE, Laëtitia Favro, dimanche 26 septembre 2021
« Le 25 mai 2020, la mort de George Floyd enflammait tous les écrans. Milwaukee Blues aurait pu se faire le reflet de cette colère : on en retient pourtant, une fois les dernières pages tournées, sa tendresse, sa lumière et l’espoir incarné par le personnage de Ma Robinson, l’ex-gardienne de prison devenue pasteure. »
L’HUMANITÉ, Muriel Steinmetz, jeudi 23 septembre 2021
« C’est du côté des broyés du rêve américain que se penche Louis-Philippe Dalembert, dans un roman choral sur l’assassinat “légal” d’un jeune Noir. »
LE MONDE, Catherine Mavrikakis, « Au Canada, un vote sous des drapeaux en berne », mardi 21 septembre 2021
Une tribune de Catherine Mavrikakis.
LA PROVENCE, Jean-Rémi Barland, dimanche 19 septembre 2021
« Avec Milwaukee Blues […], il franchit une étape supplémentaire dans l’excellence. »
LES ÉCHOS, Philippe Chevilley, vendredi 17 septembre 2021
« Louis-Philippe Dalembert distille un discours de colère, mais aussi de résilience humaniste dans cet ouvrage sélectionné dans la première liste du prix Goncourt. »
TÉLÉRAMA, Marine Landrot, mercredi 15 septembre 2021
« Brinquebalés entre l’utopie et le fatalisme, entre la folie et le conformisme, les personnages apparaissent et disparaissent au gré d’un récit d’une renversante liberté d’écriture, qui fait de Jan Carson une véritable révélation. »