LA CROIX, Emmanuelle Giuliani, jeudi 7 septembre 2017
« Léonor de Récondo accompagne la transformation d’un homme en quête de sa réelle identité. […] »
« Léonor de Récondo accompagne la transformation d’un homme en quête de sa réelle identité. […] »
« Avec une fable mémorable, sur une lignée de femmes redoutables, Eka Kurniawan signe un chef-d’œuvre. Il y a bien longtemps, Halimunda n’était qu’une vaste étendue déserte de marécages et de forêts brumeuses. […]»
« Pour composer une histoire franco-algérienne, Marie Richeux fait résonner la mémoire des lieux. Celle de « Climat de France », un bâtiment érigé en 1953, à Alger, par l’architecte Fernand Pouillon. […] »
« Le récit du long et douloureux chemin d’une femme enfermée dans son corps d’homme. Laurent deviendra d’ailleurs Lauren. […] »
« Laurent est femme. Mais il est aussi marié, père de famille et cadre d’entreprise. Alors il refoule la Mathilda qui vit en lui, avant d’oser affronter la stupéfaction de son entourage et entreprendre le chemin ardu de son expression au grand jour. […] »
« Un homme amoureux de son épouse et père de deux enfants se travestit en femme. L’histoire bouleversante d’une transformation sans voyeurisme et d’un couple en pleine tempête. […] »
« Comment les lieux façonnent-ils une existence ? Climats de France, roman éclairé et limpide, raconte les racines d’une Histoire toujours en mouvement. […] »
« On attend avec impatience chaque nouveau livre de cette romancière et musicienne si douée. Aucune déception avec Point cardinal, l’histoire d’un homme qui veut être une femme. »
« Troublant. Dans sa voiture, une femme se démaquille. Scène anodine, bientôt lestée d’une tristesse infinie quand, à mesure que s’estompent les fards, se découvre un autre visage dans le rétroviseur : celui d’un père de famille s’apprêtant à rentrer chez lui. Laurent aime Solange, sa femme, sa complice depuis vingt ans, et la mère de leurs deux ados. […] »
« La mue inéluctable d’un père de famille qui a choisi d’être femme. La mue, aussi, de son entourage… Une histoire forte servie par une écriture limpide. […] »