L’OBS, Claire Julliard, jeudi 24 mars 2016
« Juin 1929. À bord d’un paquebot, Federico García Lorca contemple l’Océan. C’est un homme meurtri qui s’apprête à quitter l’Andalousie pour l’Amérique. […] »
« Juin 1929. À bord d’un paquebot, Federico García Lorca contemple l’Océan. C’est un homme meurtri qui s’apprête à quitter l’Andalousie pour l’Amérique. […] »
« Un road movie dans les pas d’un disparu mythique, le journaliste et écrivain Ambrose Bierce. Pas étonnant de savoir que Forrest Gander est poète et géologue. Découvert avec En ami (Sabine Wespieser éditeur, 2009), l’Américain a une manière unique d’évoquer la nature. Celle qui entoure ses personnages étant ici particulièrement aride. […] »
« Il a commencé par écrire des poèmes parce qu’il avait lu ceux des autres et notamment ceux de Federico García Lorca : « Cette poésie m’a parlé tout de suite. » Serge Mestre est né et a grandi au pied de la Montagne noire à Castres. […] »
« Longtemps, elle fut Tin, une jeune fille qui avit dû fuir Phnom Penh avec sa mère, en 1975, pendant que les Khmers rouges arrêtaient et condamnaient son père. Tin a grandi en France, puis est devenue danseuse étoile à l’Opéra de Paris. […] »
« Ancienne danseuse étoile que des blessures ont contrainte à mettre fin à sa carrière, Tin doit réinventer sa vie. Elle demande la nationalité française et prend pour prénom Marjorie, croyant laisser ainsi derrière elle son enfance cambodgienne […] »
« Avec Ainadamar, récit des dernières années de García Lorca, Serge Mestre redonne au poète la force de son engagement et celle de sa liberté. […] »
« Au commencement, il y a un destin fabuleux, une légende familiale, tout à la fois au centre et à distance. Joseph est l’absent dont le portrait en médaillon trône dans un cadre au-dessus de l’escalier. […]»
« Qui se souvient d’Ambrose Bierce, disparu à la frontière mexicaine en 1914 alors qu’il cherchait à rencontrer Pancho Villa ? Trois théories s’affrontent pour expliquer sa mort et trois lieux possibles d’inhumation existent pour sa dépouille : voilà donc trois endroits à visiter pour Dale […] »
« L’Autre Joseph est un puzzle. L’auteure, née à Paris, d’origine géorgienne tente de reconstituer le visage toujours fuyant de son arrière-grand-père, Joseph Davrichewy. Un aïeul dont l’itinéraire croise sans cesse, jusqu’en 1907, […]»
« […] Il y a parfois des livres qui ne sont pas ce qu’ils auraient l’air d’être, ou pas vraiment, dont le chant s’insinue en douce chez leur lecteur et dessine comme un sanglot, un remords, un souvenir.
 Voilà donc De ce pas, premier roman de Caroline Broué. […] »