LE MONDE DES LIVRES, Florence Noiville, vendredi 30 septembre 2022
« À la lecture de ses mémoires, c’est un homme du texte, un auteur à la plume incisive et très sûre, que l’on découvre en Gabriel Byrne. »
« À la lecture de ses mémoires, c’est un homme du texte, un auteur à la plume incisive et très sûre, que l’on découvre en Gabriel Byrne. »
« La force de ce premier roman […] tient autant à la description physique de cette dictature patriarcale, comme moyenâgeuse, qu’à la manière dont Jeanne, « née morte », raconte son évasion et sa survie […] « Sa préférée » est aussi le roman préféré des libraires de la FNAC qui lui ont décerné leur prix. On les comprend. »
« Sa préférée » remporte le prix du roman Fnac, décerné par libraires et les adhérents de l’enseigne.
« Le roman de Kéthévane Davrichewy est le chant lancinant de la souffrance d’une fille qui perd ses attaches , son pays, son premier amour et finalement tous le siens. »
« Dans la nuit noire de ce roman dur, où souffrent ensemble l’âme du personnage et celle du lecteur, Sarah Jollien-Fardel arrache un éclat de lumière. »
« La voix de Sarah Jollien-Fardel n’a pas fini de résonner, bien au-delà des cimes du Valais. »
« C’est un texte à la fois très puissant, violent et noir, mais ce n’est pas anxiogène. Tout sonne extrêmement juste dans ce roman. On sent un pays, on sent les montagnes, elle vient de quelque part. Je suis honorée d’avoir eu la chance de réciter son texte. » Isabelle Carré
« Gabriel Byrne se révèle tout aussi formidable narrateur de sa propre vie, avec un livre à son image : humble et captivant. »
« Avec ses mémoires, c’est bel et bien en écrivain que nous pouvons le rencontrer. […] Un style envoûtant, souvent drôle et empreint de poésie. »
« La réussite de ce premier roman est cette variation autour d’un même thème, la violence du père qui s’insinue partout au fil des années, mais aussi cette plongée dans ce que l’on refuse de voir, ce que l’on n’explore pas : le jusqu’au-boutisme de Jeanne est à la mesure du silence social abyssal qui a entouré son enfance violentée. »