LIBÉRATION, Claire Devarrieux, samedi 3-dimanche 4 octobre 2020
« Récit nostalgique mais vif, engagé, en hommage au métier d’enseignante tel qu’elle l’a pratiqué. »
PAGE DES LIBRAIRES, Camille Desœuvre (librairie L’Imagigraphe à Paris), juin-juillet 2006
« […] Entre réalise et onirisme, la maison, la rivière, le lac et l’église prennent vie dans un pays intérieur et lointain où l’on aime se perdre. »
ELLE, Jeanne de Ménibus, vendredi 2 octobre 2020
« Reste la littérature pour transcrire ce qu’on peine tant à vivre. […] »
LIVRES HEBDO, Olivier Mony, jeudi 24 septembre 2020
« C’est un livre né d’un chagrin et qui incite autant aux souvenirs qu’à la réflexion. »
L’HUMANITÉ, Muriel Steinmetz, jeudi 24 septembre 2020
« Au fond, c’est Diane Meur qui rédige le libellé de ces rebelles impuissants : charge magistrale sur le consumérisme, le productivisme, l’usage de la technique dans un système marchand dont le but avoué est d’évacuer le travail humain, réduit à un pur coût. »
LIVRES HEBDO, Jean-Maurice de Montremy, vendredi 5 mai 2006
« Ce roman frappe par la finesse de sa construction et son art de mêler intimement l’intrigue aux éléments du décor. »
LIBÉRATION, Frédérique Roussel, samedi 19-dimanche 20 septembre 2020
« Dima Abdallah réussit admirablement à faire ressentir la forme de folie douce bâtie intérieurement pour repousser la vraie démence. »
L’AVENIR, Michel Paquot, samedi 19 septembre 2020
« Un livre magnifique et profond d’une sidérante richesse. »
L’EXPRESS, Marianne Payot, jeudi 17 septembre 2020
« La langue, chatoyante, poétique, aux parfums de jasmin et de bougainvillier, mais aussi cette guerre vue à hauteur d’enfant et d’adulte impuissant sont le sel de ce récit intriguant. […] »
L’OBS, Elisabeth Philippe, jeudi 17 septembre 2020
« Un délicat premier roman né sur le terreau fertile de la nostalgie. »