L’OBS, Claire Julliard, jeudi 17 août 2017
« La figure du transgenre, qui fascine les cinéastes de Pedro Almodóvar à François Ozon, est au cœur du nouveau Léonor de Récondo. […] »
« La figure du transgenre, qui fascine les cinéastes de Pedro Almodóvar à François Ozon, est au cœur du nouveau Léonor de Récondo. […] »
« Après avoir cumulé des exploits – elle fut la première femme à rallier en un temps record l’Angleterre à l’Australie –, l’aviatrice néo-zélandaise Jean Batten a disparu des radars lors de la Seconde Guerre mondiale (n’étant pas autorisée à voler) pour s’éteindre, quarante ans plus tard […]»
« Eka Kurniawan relate dans un style tragi-comique l’épopée des Belles de Halimunda frappées d’une malédiction depuis des décennies. Après L’Homme-Tigre, Sabine Wespieser publie en cette rentrée le premier roman de l’auteur indonésien. […]»
« Une jeune Française éprouve un choc psychologique devant une cité à Alger. Pour comprendre son émotion, elle entreprend une enquête intime qui permet à Marie Richeux de s’emparer de la question franco-algérienne avec pudeur et délicatesse. […] »
« Léonor de Récondo explore un sujet inattendu, déconcertant, encore tabou assurément : le changement de sexe. La romancière y confirme son talent pour des histoires incarnées et sensibles, contées sur le vif, rythmées, où il est question de corps et d’identité, d’affirmation de soi et d’émancipation. […] »
« Léonor de Récondo n’a pas fini de nous surprendre. Quel plaisir de la voir, dans ce cinquième roman, s’attaquer à un sujet si moderne, si risqué et si audacieux que celui de l’expérience transgenre. […] »
« Rêverie et balade autour de l’œuvre de l’architecte Fernand Pouillon, le premier roman de Marie Richeux intrigue et convainc. […] »
« L’identité ne cesse de nous surprendre et de nous échapper. Comment la saisir ? Qui est le vrai soi ? Sortir de sa chrysalide se fait parfois dans la douleur. Comme pour Mathilda. On la découvre dans une scène d’ouverture à la Fellini. […] »
« Elle n’avait peur de rien ou presque sur la terre ferme, c’était dans l’immensité de l’air seulement qu’il lui arrivait de comprendre le danger. Surnommé « la Garbo des airs », Jean Batten (1909-1982), véritable icône des années 1930 […]»
« n 1939, Haïti promulgua un décret-loi permettant à tout juif d’être accueilli et naturalisé. Cet épisode méconnu, l’écrivain haïtien Louis-Philippe Dalembert a eu le désir de le relater après le séisme de 2010 : en écho à cette main tendue en pleine période nazie […] »