REMUE.NET, Catherine Pomparat, jeudi 31 juillet 2014
« L’Odeur du Minotaure se répand entre mes deux oreilles, sous mon nez, sur ma bouche. Je sens les éclats sonores et silencieux de ma propre voix lisant le roman. […] »
« L’Odeur du Minotaure se répand entre mes deux oreilles, sous mon nez, sur ma bouche. Je sens les éclats sonores et silencieux de ma propre voix lisant le roman. […] »
« Un coup de coeur. […] L’épilogue est tout simplement fantastique. On suit Marjorie, qui est la narratrice, et sa décompensation après avoir heurté un cerf : sa vie si cadrée, si jaugée, éclate et elle va se mettre à vivre, même s’il s’agit d’une virée au fond du gouffre ! […] »
« La ballade d’un homme, d’un véritable raconteur d’histoires pour ses filles, d’un menteur pour sa femme, d’un beau parleur pour les femmes qui ne sont pas les siennes… […] »
« Moments d’intimité et de fugacité, des chambres de femmes aux backstage des défilés de mode, la photographe Françoise Huguier livre son étude du corps féminin à travers une série de clichés glanés au fil des années. […] »
« Difficile de faire la part entre l’Histoire et le roman tant Léonor de Récondo sait emporter son lecteur dès les premières pages vers la chaleur de l’Italie. Le portrait de Michelangelo écorche légèrement le génie pour montrer un homme fragile et à fleur de peau. […] »
« Férus d’action, d’épopées et de rebondissements en tout genre, passez votre chemin. […] »
« Du 4 juin au 31 août, la Maison européenne de la photographie propose une exposition des travaux réalisés par Françoise Huguier. Si l’image est son moyen d’expression favori, elle sait aussi raconter et on en jugera en lisant Au doigt et à l’œil, autoportrait […] »
« Dans Le Livre des secrets, publié pour la première fois en 1987, Fiona Kidman raconte les pérégrinations authentiques de quelques paysans d’Écosse qui, sous l’influence d’un pasteur laïc, ont quitté leur terre natale en 1817 pour aller s’installer à l’autre bout du monde, en Nouvelle-Zélande, après une errance qui aura duré plus de trente ans. […] »
« S’il est très court, Quatre Murs n’en est pas moins captivant. Pas captivant dans le sens où je voulais absolument savoir ce qu’il allait se passer. […] »
« Les Vrais Paradis sont un hymne à un âge d’or de la nuit parisienne, les années Palace. Dans ce roman autobiographique, François Jonquet raconte l’histoire d’un jeune homme qui vient de monter à Paris pour échapper à la torpeur de sa ville de province. […] »