LE MONDE DES LIVRES, Monique Petillon, vendredi 4 octobre 2013
« Carrare : éblouissante carrière de marbre où Michel-Ange passe quelques mois, en 1505, afin de choisir des blocs parfaits pour le futur tombeau du pape Jules II. […] »
« Carrare : éblouissante carrière de marbre où Michel-Ange passe quelques mois, en 1505, afin de choisir des blocs parfaits pour le futur tombeau du pape Jules II. […] »
« Avec une élégance qui le dispute à l’originalité du sujet, Léonor de Récondo nous transporte au cœur de l’activité créatrice de l’un des plus grands artistes de la Renaissance, Michelangelo Buonarroti. […] »
« Léonor de Récondo dresse un portrait simple et savant de Michel-Ange. L’artiste. Prodige précoce, la violoniste Léonor de Récondo s’est spécialisée dans la musique baroque, mais elle a également dirigé un opéra et travaillé en duo avec Émily Loizeau. […] »
« Aucun des soixante textes de Polaroïds ne dépasse, en longueur, une page. Ce ne sont pas des histoires, mais des vies minuscules. Des instantanés, issus de l’émission de France Culture Pas la peine de crier, dans laquelle Marie Richeux lit […] »
« Près de soixante-dix Polaroïds. Des poèmes lus à toute vitesse – mais chacun procèdera comme il veut. Et voilà que je ressors ébloui par l’expérience. La poésie comme je l’aime. Pas celle, mal rimée, qu’on cueille en recueils. […] »
« Dans une ville balnéaire israélienne des années 1960, deux hommes et une jeune femme à la rencontre de leur destin. […]»
« Après Mathias Énard, Michel-Ange inspire à Léonor de Récondo ce petit roman précieux et contemplatif sur un grand génie en débat entre froideur et émotion, ascèse et sensualité, solitude et humanisme. »
« Italie, XVIe siècle. Michelangelo travaille dur dans la carrière de marbre de Carrare afin de choisir les meilleurs blocs pour une commande papale. […] »
Entrée à la 34e place dans le classement Livres hebdo des meilleurs ventes. « Sculpter les mots. […] »
« La voix de Marie Richeux, tous les jours de la semaine au mitan de l’après-midi, enveloppe les auditeurs de France Culture. C’est une voix avec des cailloux de rivière dedans, une rumeur d’enfance dans le grain, jeune et douce. […] »